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Actualité - 07.09.2023

une rentrée hippique haute en couleurs

La rentrée est le mot-clé de la période. Au revoir vacances, la rentrée est là. Pour le secteur de la formation de la filière des courses, il s’agit plus que d’autres d’un moment charnière. Devenue une valeur cardinale d’un secteur sous haute tension en matière d’emploi, la formation a vu l’ensemble de ses acteurs, et au premier rang desquels l’AFASEC, multiplier les initiatives ces deux dernières années pour la rendre plus attractive. Qu’en est-il donc pour cette rentrée ? Guillaume Herrnberger, le directeur général de l’AFASEC en fait un bilan positif et élargit le spectre aux autres missions de l’association au service de la filière.

Avec 718 élèves lors de cette rentrée 2023, l’AFASEC affiche une belle progression de 11 % sur la précédente année. Un niveau important, proche du record de l’Ecole des courses établi à 722 apprenants en 2013. "C'est très positif mais il ne faut pas faire de la quantité pour la quantité, modère Guillaume Herrnberger. Et il y a d’autres facteurs à intégrer qui vont aussi dans le bon sens. Le taux d’abandon en cours d’année à l’AFASEC était l’an dernier de 10 % contre 13 % sur le précédent exercice." Un effet double-levier qui a été rendu possible par "l’augmentation de l’exigence et de la qualité de nos recrutements", argumente le patron de la formation hippique.

Un emploi = 180.000 € de valeur crées annuellement pour la filière course
C’est le résultat d’un petit exercice estival auquel s’est livré Guillaume Herrnberger qui explique : "1 emploi de lad/cavalier d’entraînement, c’est à peu près quatre chevaux de plus à l’entraînement. Cela fait 45 partants de plus sur l’année au sens global trot/galop. Cela génère 1,8 million d’euros en plus sur une année selon les sources PMU. Sur la base de 10 % qui revient à la filière, on arrive à 180.000 €."

Un processus de recrutement plus exigeant grâce à un format rallongé des stages de détection
Sur l’ensemble du trot et du galop, 20 % des candidats sont actuellement refusés. "On s’est d’abord donné les moyens d’avoir plus de candidats pour pouvoir se permettre d’aller vers cette sélectivité" explique Guillaume Herrnberger.
Après les journées portes ouvertes (désormais à 4 contre 2 antérieurement), l’AFASEC organise des stages de détection (ex stage de découverte). De deux jours et demi, ils sont passés à cinq jours. Une telle évolution permet une meilleure sélection mutuelle : des postulants découvrent plus complètement les métiers du cheval de courses et l’AFASEC sélectionne des profils mieux connus. "Durant cette semaine entière, les jeunes vont passer une journée dans une écurie (d’un professionnel). Ils vont aussi avoir un entretien d’aptitude physique et un entretien de motivation, menés par le chef d’établissement et le corps de formateurs de chaque campus. Notre schéma est très simple : plus de volume avec plus de journées portes ouvertes. Et plus de sélectivité grâce à nos stages de détection organisés pendant les vacances scolaires qui suivent les journées portes ouvertes. Cela ne sert à rien de prendre des jeunes pour les emmener en situation d’échec."
L’AFASEC remercie sur ce point tous les professionnels qui se prêtent aux journées de détection en accueillant les candidats de l’AFASEC. Et encourage de nouveaux professionnels à la contacter pour rejoindre ce vivier de professionnels proactifs sur la formation.

Une formation professionnelle qui doit aboutir pour toutes et tous
Le président de la république vient de déclarer, lors des récentes annonces sur la réforme de la formation professionnelle, que celle-ci devait emmener vers 100 % d’intégration à l’emploi. "À l’AFASEC, nous sommes à 95 %. Il faut donc bien que, dès le départ (la sélection des candidats), on se demande comment on va vers ce 100 %." Guillaume Herrnberger ajoute aussi : "La formation n’est pas un fusil à un-coup avec la rentrée. Si certains élèves peuvent nous quitter, d’autres peuvent nous rejoindre pendant l’année."

La formation initiale des jeunes, un signal de relance de l’attractivité des courses ?
L’objectif de 750 jeunes en formation initiale en 2025 [lire à la fin de ce dossier] est désormais de l’ordre de l’accessible. Les 718 entrants dans les cinq campus lors de la rentrée 2023, le fruit d’une démarche proactive de sélection [lire plus avant], sont un signe fort d’une attractivité de la filière en passe de refaire surface. "Pascal Launey, le chef d’établissement de Graignes, me dit qu’il n’a pas vu autant d’entrants depuis des années (plus de 165 élèves). À Grosbois, on est passés de 80 à 120. Toutes nos écoles augmentent. Nos nouvelles formations comme palefrenier/soigneur attirent un nouveau profil aux courses. Tout cela répond à un besoin d’emploi. C’est aussi dans cette logique qu’on va ouvrir à Graignes l’année prochain un bac pro CGEA (conduite et gestion de l'entreprise agricole) en élevage spécialisé courses hippiques. Cette offre nous permet en même temps de proposer des passerelles à des jeunes qui ne peuvent rester dans la filière lad-jockey par exemple."
Pour la rentrée 2023, ce sont plus de 300 nouveaux jeunes qui vont rejoindre l'AFASEC, les autres rentrants étant des jeunes déjà en formation l'an dernier.

Les données (trot et galop confondus) des écoles AFASEC
Site --- 2023/24 --- 2022/23
▪️ Cabriès : 93 - 91
▪️ Gouvieux : 184 - 170
▪️ Graignes (100 % trot) : 167 - 148
▪️ Grosbois (100 % trot) : 128 - 97
▪️ Mont-de-Marsan : 146 - 140
Total : 718 - 646
*2013 : 722 apprenants, année record pour l’AFASEC


On s’est d’abord donné les moyens d’avoir plus de candidats pour pouvoir se permettre d’aller vers plus de sélectivité.
Guillaume Herrnberger

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Nouveauté de la rentrée dans les secteurs de la formation et de l’emploi : la VAE inversée
Le 24 mai dernier, Carole Grandjean, ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnelle, avait lancé la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) inversée. Cette nouvelle formule permet de valider les acquis d’une expérience, capitalisée dans le cadre d’un parcours de formation effectué en entreprise, en diplôme. Guillaume Herrnberger explique : "Pour un public adulte, au lieu d’aller sur les bancs de l’AFASEC, il reste 100 % du temps en entreprise. Cette dernière a des obligations pédagogiques, notamment en nommant un tuteur, moyennant quoi elle est rémunérée par l’Etat. Au bout d’un an, le salarié a une reconnaissance de diplôme. C’est en pratiquant qu’on devient lad-jockey et tout le monde y gagne. L’AFASEC pourra délivrer ce diplôme et c’est une bonne nouvelle pour notre filière."


QUELQUES PROJETS EN COURS

■ Proposition d’une formation croisée en France mais aussi à l’étranger sur la maréchalerie (assurée par les Compagnons du devoir) et l’assistance hippique (assurée par l’AFASEC).
■ Des rapprochements avec le C.F.A. (centre de formation des Apprentis) de Laval et les MFR (Maisons Familiales Rurales). "Nous ne sommes pas en situation de monopole sur la formation hippique. La finalité de l’AFASEC est de servir l’emploi dans les courses. Aujourd’hui, il n’est pas question d’ouvrir un nouveau campus par exemple. Ce serait un projet trop coûteux. Le maillage territorial permet de travailler avec Laval, Pouancé, Vimoutiers, Mornand, etc."
■ Un partenariat avec la formation de Laura Fleyssel, ancienne championne olympique d’Escrime, sur le sujet de la reconversion professionnelle (baptisée "Sport Excellence Reconversion"). "Le département accompagnement de l’AFASEC va proposer cette formation aux acteurs des courses pour aider à préparer l’après d’une carrière de jockey, driver, entraîneur…"

➤ Une nouvelle identité visuelle de l'AFASEC est dans les tuyaux. Elle devrait être révélée en 2024.

Le travail avec l’équestre : un domaine à investir
C’est un dossier sur lequel il reste beaucoup à faire, celui des interconnections de la formation hippique avec celle de l’univers équestre. Le projet de l’AFASEC de représenter les courses n’a pu aboutir durant l’été à Lamotte-Beuvron, lors des championnats de France Poneys et Clubs. Guillaume Herrnberger ajoute sur le sujet : "Il y a beaucoup de passerelles en entrée et en sortie avec les formations d’équitation classique. "


La mission emploi de l’AFASEC
Le nouveau service de l’AFASEC, créé en juin 2022 à l’initiative de la feuille de route confiée à l’AFASEC par les sociétés mères, a permis de créer 112 emplois dans les écuries depuis le début de l’année : 87 par des candidats français et 25 par des candidats étrangers. "Comme un cabinet de recrutement, cette nouvelle direction a recruté 112 postes dans des écuries de trot et de galop, sur des métiers de palefreniers ou cavaliers/lads-jockeys" développe le patron de l’AFASEC. Il reste que l’emploi est toujours en souffrance, et sous tension, dans la filière hippique. Guillaume Herrnberger commente : "L’emploi est l’or noir de la filière des courses, c’est l’essence dont notre industrie a besoin. Et cet or noir, on le voit depuis dix ans dans les chiffres, se fait de plus en plus rare. Le nombre d’annonces postés dernièrement, publié par le baromètre d’Equi-ressources, a diminué mais reste abyssal. Il y a toujours entre 500 et 1.000 emplois non pourvus à l’heure où l'on se parle."

Données emploi sur les 6 premiers mois de 2023
▪️ 1.780 offres d’emploi diffusées par Equi-ressources (-17 % par rapport à 2022)
▪️ 22.699 candidatures effectuées par Equi-ressources qui ont abouti à 1.147 offres pourvues et 487 annulée


La mission accompagnement
"La mission d’accompagnement des salariés de la filière par l’AFASEC est souvent méconnue, annonce en préambule Guillaume Herrnberger. Dans cette mission, il y a la garde des enfants des salariés, la santé, la restauration sur certains sites comme à Grosbois. Ce sont aussi la gestion de logements. On est en passe de délivrer en 2023 une année de croissance de cette activité de 20 %."

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LES DEUX RENDEZ-VOUS DE L’AUTOMNE
Le 5 octobre : la journée pour l’emploi dans le trot
"Il s’agira d’une poursuite du forum de l’emploi de mars 2022 qui sera dédiée au trot, avec les socioprofessionnels du trot et les membres du Comité de la SETF. Cette journée sera coanimée par l’AFASEC et notre direction de l’Emploi." Il s’agira de refaire un diagnostic sur le présent et de se projeter vers l’avenir sur les thèmes de l’emploi et de la fidélisation. Parmi les sujets, le métier d’entraîneur fera l’objet d’un travail particulier avec la question de "comment on réenchante le métier de chef d’entreprise".
Le 6 octobre : lancement à Vincennes du label EquuRES "Bien-être au travail" avec présentation aux socioprofessionnels du trot et du galop. "La réalisation de ce label a été un moment de co-conception extrêmement fort entre les acteurs de la filière. Ce n’est pas une démarche hors sol. On a été dans le réel et le concret de ce qu’est une écurie de courses" développe Guillaume Herrnberger.


L’AFASEC soutient l’Académie de Christophe Soumillon
En plein cœur de l’été, au début du mois d’août, le jockey Christophe Soumillon a annoncé le lancement d’un projet qui lui tenait à cœur. Il s’agit de la création en Normandie, aux portes de Deauville, d’une Académie unique en Europe pour les jeunes cavaliers de courses à poneys. Voilà un projet singulier porté par l’un des plus grands jockeys internationaux contemporains. "L’initiative de Christophe Soumillon est excellente. Dès que j’ai découvert son projet, je lui ai envoyé un WhatsApp pour lui proposer de se rencontrer", réagit Guillaume Herrnberger. Chose faite rapidement en août. Le directeur de l’AFASEC développe ensuite son analyse : "Si on file la métaphore automobile, on sait que Michael Schumacher a commencé en kart avant de finir multiple champion du monde de Formule 1. Chez nos jockeys et drivers, beaucoup ont commencé par les poneys. Mais l’AFASEC n’a pas vocation à avoir des poneys dans ses centres. L’AFASEC ne peut pas tout faire et doit avoir des partenaires sur lesquels compter. Avec l’association des poneys au trot et la création de l’académie de poneys de Christophe Soumillon, nous disposons de deux interlocuteurs identifiés. Nous leur avons fait des propositions pour y envoyer en stage des apprenants de nos centres qui sont trop jeunes pour aller en entreprise ou à qui il manque des bases essentielles. Nous voulons travailler avec ces structures pour améliorer le niveau de nos jeunes et leur préparation aux courses hippiques. On peut dire que ces jeunes auront avec les poneys un complément de formation à ce qu’on leur apporte au sein de nos écuries d’application."

« Un point clé dans l’échange avec Christophe est sa vision de sortir de l’entre soi. Sa volonté est d’aller chercher des jeunes qui ne viennent pas du milieu des courses. »

L’accord en cours d’élaboration entre l’AFASEC et l’Académie
1. Encourager les jeunes de l’AFASEC à effectuer des stages poneys pendant leurs vacances
2. Envoyer les plus jeunes des apprenants AFASEC ou de plus grands sans affectation d’écurie se former une semaine par mois en stage à l’Académie


QUELLES SUITES AU FORUM DE L’EMPLOI DE 2022 ?

Le forum sur le futur de l’emploi et de la formation dans les courses et l’élevage, organisé le 15 mars 2022 sur l’hippodrome de ParisLongchamp, s’était clôturé sur trois grands dossiers à traiter. Où en est-on un an et demi après ?

Dossier 1 : la mise en valeur des métiers sous l’angle 52 semaines / 52 métiers de la filière courses et élevage décrits de façon moderne et relayés chaque semaine sur les réseaux sociaux avec le soutien d'influenceurs.
"On a détourné ce volet en réalisant et diffusant des vidéos de façon mensuelle ou trimestrielle, compte tenu des coûts de production très élevés, sur les différents métiers, explique Guillaume Herrnberger. On va aussi sur des canaux plus généralistes. Cet été, on a produit une super vidéo avec Brut (une plateforme 100 % vidéo) pour parler du cavalier d’entraînement et du jockey. Avec cette démarche, on est sortis de notre sphère."

Dossier 2 : le conseil en Ressources Humaines aux entreprises de la filière.
La direction de l’Emploi de l’AFASEC créée l’an dernier a une cellule de conseil RH. Cette direction peut accompagner les demandeurs mais produit aussi des référentiels sur la définition des prestataires de la filière notamment. "C’est un volet qui se construit petit à petit" commente Guillaume Herrnberger.

Dossier 3 : la labellisation pour la reconnaissance sociale des entreprises.
La solution a été mise en œuvre avec le label EquuRES Bien-être au travail.


© DR
Christophe Soumillon
UNE RENTRÉE QUI FAIT MIEUX QUE LES OBJECTIFS

Avec les chiffres de la rentrée, le directeur de l’emploi et la formation de la filière hippique peut avancer des motifs de satisfaction : "On est au-dessus de nos objectifs. On avait dit qu’il y a aurait 700 élèves, il y en a plus (718). On avait dit qu’il y aurait 150 emplois pourvus sur l’année. Au 30 juin, il y a eu 112 pourvus. De manière annualisée, on devrait être à 200 postes en fin d’année."
Dans une projection pluriannuelle, il ajoute encore, dans une logique de bilan d’étape après presque deux ans au poste qui est le sien : "On est dans les temps de passage. On n’a pas encore abouti et atteint les objectifs de la feuille de route qui nous positionne en 2025 mais nos indicateurs vont dans le bon sens. L’objectif général est d’inverser les courbes de l’emploi durablement. On est dans les temps mais il y a encore tellement à faire, notamment sur la transformation de nos pratiques RH. Ces bons résultats sont aussi le fruit de toutes les équipes de l’AFASEC, qui se sont entièrement engagées. De mon côté, j’ai beaucoup appris. Il y a une dynamique que je ressens autour de moi et c’est génial."

L'AFASEC se redéploie à Grosbois et ouvre une antenne d'Epona
La présence de l'AFASEC va connaître plusieurs changement sur le site d'entraînement de Grosbois. L'association investit la cour précédemment occupée par Matthieu Verva pour en faire son écurie d'application. Elle y hébergera également les cinq chevaux de la nouvelle brigade de police montée du Val-de-Marne. Mais ce n'est pas tout puisque l'entreprise adaptée de reconversion de travailleurs handicapés de l'AFASEC, Epona, va s'étendre en dehors de Chantilly et ouvrir une antenne également à Grosbois. La société a développé de nouvelles lignes de services, en particulier dans la prestation. Elle proposera le nettoyage des couvertures et, par la suite, normalement, la réparation de sulky par exemple. Au début de l'année 2024, Epona ouvrira par ailleurs un site de vente en ligne pour s'adresser à tous les entraîneurs de l'Hexagone.


LA FEUILLE DE ROUTE DE L’AFASEC POUR 2025
[lire aussi le visuel en bas de page]
➤ Une ambition générale : inverser les courbes de l’emploi durablement (augmenter le taux de remplissage des formations, réduire le nombre d’emplois non pourvus, réduire le turnover de la filière, faire progresser la satisfaction des acteurs, participer à la croissance des investissements).
Objectifs 2025
■ 750 élèves en formation
■ +350 emplois pourvus
■ x2,5 le nombre d’heures de formation continue
■ être le n°1 de l’accompagnement
■ augmenter ses investissements dans l'innovation


Budget et financement de l’AFASEC
■ Budget annuel : environ 40 M€
■ Financement :
▪️ 50 % par les sociétés mères (19,8 M€ à 58 % par le galop et 42 % par le trot) : en croissance de 1 M € en 2023 (500.000 € sur la formation et 500.000 € sur l’emploi) ;
▪️ 50 % par la vente de biens et services, par les aides publiques pour Epona (entreprise de reconversion des travailleurs handicapés) et aides publiques à la formation.
En 2023 : produit exceptionnel avec la vente d’un bien immobilier dans le Sud-Est de la France. Ce produit sera réinjecté à la filière en déduction des contributions des sociétés mères.

Penny Johnston passe de l’AFASEC à la SETF
Au sein de la filière hippique, on pourrait parler d’un transfert. Penny Johnston, la Responsable Communication de l’AFASEC, se prépare à rejoindre la SETF. À partir d’octobre, elle y occupera le poste de Responsable relations presse et relations institutionnelles.

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