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Actualité - 25.01.2024

Pleins feux sur la grille de départ 2024

Les 18 partants du Prix d'Amérique Legend Race 2024 sont officiels depuis 12h ce jeudi 25 janvier. La liste qui se dessinait mercredi après les forfaits s'est confirmée officiellement aujourd'hui et Hooker Berry (Booster Winner) va défendre son titre face à dix-sept adversaires dont sa dauphine de 2023 Ampia Mede Sm (Ganymede). Un million d'euros seront distribués entre les sept premiers de la course au trot la plus mythique du monde. Ce sont les premiers chiffres-clés.

Le champion de Michel Aladenise Hooker Berry remet donc sa couronne en jeu cette année et arrive avec un costume bien différent de celui de l'an passé. Tout d'abord car sa préparation a donné plus grande satisfaction à son entraîneur Jean-Michel Bazire qu'en 2023. Ensuite car le maestro cède sa place à son fils Nicolas au sulky du champion. Hooker Berry (Booster Winner) va donc tenter de devenir le premier trotteur à réaliser le doublé deux années consécutives avec deux drivers différents depuis Roquépine

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en 1967 quand il fut associée à Henri Levesque un an après son premier sacre avec Jean-René Gougeon. Nicolas Bazire fait partie des drivers déjà vainqueurs de la course comme Franck Nivard (driver d'Ampia Mede Sm), Örjan Kihlström (Aetos Kronos) et Björn Goop (Joviality). Soulignons une nouvelle association cheval-driver : Emeraude de Bais (Repeat Love) sera pilotée pour la première fois par Jean-Philippe Monclin.

Les qualifiés

Le Prix d'Amérique est aussi la première des trois Finales de la compétition Amérique Races PMU, lesquelles ont offert depuis le début du meeting d'hiver des priorités de participation lors de six courses qualificatives. Pour rappel, les qualifiés sont : Inmarosa, Hokkaido Jiel, Emeraude de Bais, Hussard du Landret, Izoard Vedaquais,Gu d’Héripré, Go On Boy, Ampia Mede Sm, Idao de Tillard, Hooker Berry.

Diable de Vauvert intègre la liste
L'information de jeudi s'est confirmée officiellement avec le forfait de Flamme du Goutier (Ready Cash) qui permet à Diable de Vauvert (Prince d'Espace).


La dimension internationale du Prix d'Amérique Legend Race

Cinq chevaux présentent un passeport non-français au départ de ce Prix d'Amérique. Deux sont suédois : Hail Mary (Googoo Gaagaa) et Aetos Kronos (Bold Eagle). Un est italien : le crack aux 3,6 millions d'euros de gains Vivid Wise As (Yankee Glide). Une est franco-italienne : Ampia Mede Sm (Ganymede), née en Italie, d'un père français et entraînée sur notre sol depuis 2021. Il y a enfin Joviality (Chapter Seven) : une véritable citoyenne du monde. Elle est enregistrée en Suède, a débuté sa carrière aux États-Unis où elle s'est hissée au plus haut niveau même face aux mâles avant de revenir en Suède pour gagner la plus grande course pour chevaux de 4ans. Et elle est en France cet hiver, sur la trace de ses aïeux, elle qui a pour grand-mère la jument française Jovelinotte (Passionnant).

Quels pieds ?

Sur les dix-huit concurrents, seulement trois ne sont pas présentés déferrés. Gu d’Héripré qui garde ses fers aux quatre pieds, Izoard Vedaquais plaqué antérieurs / ferré postérieurs et enfin le très attendu Idao de Tillard, ferré des antérieurs. Grande première pour Go On Boy (Password), présenté déferré des quatre pieds pour la première fois par Romain Derieux, décidé à jouer son va-tout pour la grande course.

PARTANTS VINCENNES - Dimanche 28 Janvier
7 PX D'AMERIQUE - AMERIQUE RACES PMU - (16H20)
Premium - Att. - (1) - Internationale - 1 000 000 € - 2 700m
1. INMAROSAL. Abrivard
2. HOKKAIDO JIELD. Thomain
3. EMERAUDE DE BAISJ-P Monclin
4. HUSSARD DU LANDRETY. Lebourgeois
5. IZOARD VEDAQUAISB. Rochard
6. GU D'HERIPREF. Lagadeuc
7. GO ON BOYR. Derieux
8. ITALIANO VEROM. Mottier
9. DIABLE DE VAUVERTB. le Beller
10. AETOS KRONOSO. Kihlstrom
11. AMPIA MEDE SMF. Nivard
12. IDAO DE TILLARDC. Duvaldestin
13. HAIL MARY (SWE)E. Raffin
14. HOOKER BERRYN. Bazire
15. DELIA DU POMMEREUXP. Y. Verva
16. HOHNECKG. Gelormini
17. JOVIALITY (SWE)B. Goop
18. VIVID WISE ASM. Abrivard

Ils ont déclaré en conférence de presse

Une conférence de presse était organisée ce jeudi à Vincennes et en vidéo. Plusieurs acteurs du Prix d'Amérique 2024 avaient répondu présents. Voici ce que nous proposons de retenir.

● Clément Duvaldestin - driver d'Idao de Tillard
"Mon cheval n’est pas si mal que ça. On a eu un contretemps dans sa préparation mais il court relativement bien sur sa fraîcheur donc il a les moyens de défendre ses chances. Ses derniers travaux ont été bons même s’il sait très bien ce qu’il a à faire. L’an dernier c’était notre premier Prix d’Amérique pour nous deux.
On n’avait peut-être pas la maturité nécessaire mais cette année ce sera différent.
Il a 240g sous chaque pied aux antérieurs : c'est le cheval avec le plus de poids aux pieds de la course. Ce n’est pas chose facile mais le cheval est bien comme ça et on ne doit pas aller contre lui. J’adore le faire venir de derrière mais toutes les tactiques sont possibles avec lui."

● Benoît Robin - entraîneur d'Hussard du Landret
"Le cheval a vraiment été resplendissant cet hiver. Avec le système de qualifications, on a vu que tout le monde. Je pense que le Hussard de 2024 est meilleur qu’en 2023 : ce n’est plus le même cheval. Le fait de l’avoir préservé dans sa carrière lui permet d’en être là aujourd’hui. C’est un atout d’avoir un driver comme Yoann dans une course comme le Prix d’Amérique."

● François Lagadeuc - driver de Gu d'Héripré
"Cette année, on a retrouvé le vrai Gu d’Héripré. Et il est resté très bien. Il a des pieds sensibles, ce sera un petit hic mais pour lui c’est mieux de garder ses fers qui pèsent aux alentours de 200g."

● Benjamin Rochard (1er Prix d’Amérique) - driver d'Izoard Vedaquais
"Il est irréprochable jusque là mais ce sera plus compliqué car il est difficile au départ. Il faudra compter sur la possibilité de venir à flanc de peloton en se faisant ramener. Sa qualité principale ? Sa dureté, il ne lâche jamais le morceau."

● Léo Abrivard (1er Prix d’Amérique) - driver d'Inmarosa
"Avant le coup on est dans la peau d'unoutsider. Son travail de début de semaine a été satisfaisant même si elle n’est pas très démonstrative le matin. Je suis serein d’autant que je connais par coeur ma jument qui est régulière, très maniable, pratique."

● Romain Derieux (1er Prix d’Amérique) - entraîneur-driver de Go On Boy
"Tout est ok au niveau de sa préparation. On ne domine pas ces chevaux et j’avais en tête depuis le début de l’hiver cette idée de le déferrer. Il faut prendre des risques pour une telle course ! Déferrer doit l’améliorer de façon importante car la différence va être conséquente : il avait 180g aux antérieurs la dernière fois. La piste devrait être bonne donc s’il faut le faire c’est à Vincennes."

L'Amérique aussi une histoire de familles

Tant parmi les chevaux que parmi les hommes, il y a des affinités électives avec le Prix d’Amérique Legend Race. La grande course peut être, ainsi, comme inscrite dans les gènes des uns et des autres, familialement en quelque sorte. Notre objet du jour : passer au crible les dix-huit partants probables et leur entourage, en regard de leur histoire et de celle des leurs avec l’ « Amérique ».


Le peloton est emmené par Inmarosa (Amiral Sacha), qui n’a pas de lien particulier avec le Prix d’Amérique Legend Race –non plus que Go On Boy (Password) et le suédois Hail Mary (Googoo Gaagaa), en milieu de liste–, à la différence de son suivant dans l’énoncé des partants, à savoir Hokkaido Jiel (Brillantissime), dont le grand-père paternel n’est autre que Ready Cash, double vainqueur de la course, en 2011 et en 2012, tandis que le père de mère, Love You, est un fils de Coktail Jet, à l’honneur dans l’édition 1996.

L’empreinte « américaine » de Ready Cash
Hokkaido Jiel est l’un des cinq tenants de la lignée mâle de Ready Cash sur la ligne de départ, avec Hussard du Landret et Izoard Védaquais, tous deux par Bird Parker, cinquième du Prix d’Amérique 2018, avec, encore, Italiano Vero, par Ready Cash lui-même, et avec Aetos Kronos, fils de Bold Eagle, lauréat en 2016 et en 2017. Ready Cash est, en outre, le père de mère d’Hohneck, dont l’auteur, Royal Dream, le défit dans le Prix d’Amérique 2013. De la sorte, Hohneck est, sans doute, le plus « américain » des dix-huit concurrents en lice, même si la séquence de pères de mères d’Italiano Vero passe par Lutin d’Isigny, vainqueur en 1985, mais c’est à la troisième génération.

La signature de Coktail Jet
Gagnant, on l’a dit, du Prix d’Amérique 1996, Coktail Jet est, pour sa part, le père de Gu d’Héripré, le grand-père paternel d’Emeraude de Bais (Repeat Love) et l’arrière-grand-père paternel de Hooker Berry (Booster Winner), une place qu’il occupe aussi, du côté maternel, dans le pedigree de Hussard du Landret. On ajoutera qu’au-delà de la présence de Coktail Jet dans leur ascendance proche, Hooker Berry et Gu d’Héripré entretiennent un rapport privilégié avec le Prix d’Amérique Legend Race, dont le premier est le tenant du titre et dont second le conclut à la troisième place en 2021. De leur côté, Délia du Pommereux (Niky), dont l’un des pères de mères, Feu Follet X, gagna le Prix d’Amérique, en 1954, et Vivid Wise As (Yankee Glide) sont hors Coktail Jet, mais ils ont terminé au quatrième rang des éditions 2020 et 2021 de la prestigieuse compétition. En la matière, Ampia Mede Sm (Ganymède) a fait mieux encore, puisqu’il s’agit de la deuxième de l’année dernière, mais c’est un peu moins bien que ce que réussit Queen L, la sœur utérine de son arrière-grand-mère, qui monta sur la première marche du podium, en 1993.

Des liens plus ténus
Les liens des autres avec le Prix d’Amérique Legend Race sont plus ténus, à commencer par ceux du probable favori, Idao de Tillard, dont le père, Sévérino, a cependant pris part à trois reprises à la course, s’en classant notamment sixième, à 5 ans, et septième, à 6 ans, et a pour aïeul maternel Mon Tourbillon, trois fois à l’arrivée au cours des années 1980 et sur lequel Diable de Vauvert (Prince d’Espace), l’invité de la dernière heure, est inbred (3x4), tout en ayant le crack Jamin, gagnant à deux reprises, en 1958 et 1959, dans la liste de ses pères de mères. De son côté, la suédoise Joviality (Chapter Seven), dont la famille est française, compte, parmi ses ascendants maternels, un certain Amyot, cinquième de Delmonica Hanover en 1974.
Il faut signaler, enfin, qu’Emeraude de Bais, Gu d’Héripré et Hokkaido Jiel ont tous les trois pour ancêtre la matrone Héra de Bellouet, dans la descendance de laquelle on pointe un lauréat du Prix d’Amérique en Royal Dream. Quant à Izoard Védaquais, il est de la même famille maternelle qu’Hohneck, cinquième de la course, ces deux dernières années, et qui figure parmi ses adversaires de dimanche.


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Gu d'Héripré, fils de Coktail Jet
Les attentes de Philippe Allaire
Philippe Allaire est l’entraîneur le plus représenté au départ, déléguant trois de ses pensionnaires, Hohneck, Italiano Vero et Izoard Védaquais.
Deux Prix d'Amérique comme propriétaire

S’il a gagné deux Prix d’Amérique comme propriétaire, avec Ready Cash, il ne l’a jamais remporté comme entraîneur, ni comme driver, son meilleur classement, jusqu’à maintenant, étant la place de deuxième d’Ukir de Jemma, en 1993, tant à la préparation que dans le sulky, sous les couleurs Luck, soit dit au passage, qui sont aujourd’hui celles d’Hokkaido Jiel… On comprend, évidemment, que Philippe Allaire ait à cœur d’inscrire l’épreuve à son palmarès de metteur au point, dans les pas de son fameux père, Pierre-Désiré, vainqueur avec Grandpré, en 1978, dont il était également le propriétaire et le driver.

Thierry Duvaldestin, pour un coup de trois, en famille
Fabrice Souloy, pour briser la glace
Thierry Duvaldestin et Fabrice Souloy sont très favorablement représentés, le premier par Idao de Tillard, le second, doublement, par Ampia Mede Sm et Gu d’Héripré. Thierry Duvaldestin s’est déjà imposé deux fois, en tant qu’entraîneur, via Ready Cash. Son aventure « américaine » est, ici, complètement familiale, avec son fils, Clément, dans la voiture. Fabrice Souloy, lui, tourne autour du pot : deuxième, puis quatrième, avec Kool du Caux, en 2007 et en 2008 ; cinquième, avec Exploit Caf, cette même année 2008 ; troisième, avec Olga du Biwetz, en 2011 ; troisième avec Gu d’Héripré, sous pavillon Billard, en 2021 ; deuxième avec Ampia Mede Sm, en 2023…
Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ?
Pour faire en sorte que cela le soit, Franck Nivard sera un sérieux atout, au sulky d’Ampia Mede Sm, lui qui, parmi les drivers du peloton, est celui qui compte le plus grand nombre de victoires dans la course, avec cinq titres, enlevés grâce à Meaulnes du Corta, en 2009, à Ready Cash, en 2011 et en 2012, et à Bold Eagle, en 2016 et en 2017. Quant à François Lagadeuc, partenaire de Gu d’Héripré, il reste sur ses deux cinquièmes places avec Hohneck, en 2022 et en 2023.

Les ambitions de « JMB » et de son fils
Cet hiver, Jean-Michel Bazire regardera la course des tribunes. Il présente Hooker Berry, le tenant du titre, mais c’est son fils, Nicolas, qui est aux commandes. Un Nicolas Bazire vainqueur avec Davidson du Pont, en 2022. La famille sait ce que gagner un Prix d’Amérique veut dire, dans la mesure où « JMB » est, avec Franck Nivard, le driver en activité le plus titré dans le championnat, fort, lui aussi, de cinq succès, grâce à Moni Maker, en 1998, Késaco Phédo, en 2004, Up and Quick, en 2015, Bélina Josselyn, en 2019, et Hooker Berry, en 2023. De surcroît, il figure aussi dans la colonne des entraîneurs pour Késaco Phédo, Bélina Josselyn et Hooker Berry.

Le travail en famille vu par Sébastien Guarato
Notre consultant spécial semaine du Prix d'Amérique Sébastien Guarato nous livre son sentiment sur le travail en famille. "Je connais effectivement bien cela avec Adrien mais aussi ma fille Lise qui commence également. Comme tous les gamins, il aimait surtout le foot au début mais s'est de plus en plus intéressé au travail de l'écurie. Il est aujourd'hui un membre à part entière de l'équipe mais il ne bénéficie bien sûr d'aucun traitement de faveur. Je ne fais aucune différence entre lui et les autres membres de mon équipe que je veux bien soudée. Pour moi, travailler en famille n'est pas un problème du tout dès lors qu'on applique bien ces règles et qu'on est fidèle à nos valeurs, à savoir chez nous le travail et le respect des autres membres de l'équipe. J'ai plaisir à pouvoir m'appuyer sur lui et fort du permis adéquat il peut maintenant prendre le camion et aller aux courses avec les chevaux de l'écurie. J'espère qu'il deviendra un entraîneur de qualité mais ce sera son destin à lui, ce n'est pas non plus un devoir que je m'impose."

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Sébastien Guarato
Des scandinaves qui entendent bien ne pas s’en laisser conter
Associé à Joviality, Björn Goop est l’un des deux autres drivers déjà gagnants de l’épreuve au départ de la présente édition : il a vaincu, tour à tour, avec Readly Express, en 2018, et Face Time Bourbon, en 2020 et en 2021. Örjan Kihlström est le second ; partenaire escompté d’Aetos Kronos, il a brillé avec Maharajah, en 2014. Ils ont donc eux-mêmes une histoire avec l’ « Amérique » et entendent bien ne pas s’en laisser conter.

La mainmise des Gougeon et des Levesque
Par le passé, ce sont les familles Gougeon et Levesque qui se sont montrées les plus performantes dans le championnat du monde du trot. D’ailleurs, Jean-René Gougeon, surnommé le pape de Vincennes, est le recordman de victoires, en tant que driver, dans l’ « Amérique », avec huit succès, soit deux avec Roquépine (1966, 1968), trois avec Bellino II (1975, 1976, 1977) et trois avec Ourasi (1986, 1987, 1988). Son frère, Michel-Marcel, dit « Minou », compte lui-même trois victoires dans la course, ayant été le partenaire de Toscan, en 1970, de Lurabo, en 1984, et d’Ourasi, en 1990.
Jean-René et Michel-Marcel : à eux deux, les frères Gougeon comptent 11 Prix d'Amérique !

Marcel Gougeon, le père de Jean-René et « Minou », s’est imposé, quant à lui, avec Reynolds V. C’était en 1922. Dans les rangs des entraîneurs, Jean-René Gougeon partage le leadership avec le russe Alexandre Finn et avec Henri Levesque. Dans ce rôle, tous trois ont signé cinq succès dans l’épreuve. Henri Levesque ne l’ayant fait qu’avec des chevaux lui appartenant –Masina, en 1961, Roquépine, de 1966 à 1968, et Upsalin, en 1969–, il en devient aussi le propriétaire le plus capé. Des décennies plus tard, son petit-fils, Pierre, gagnera trois Prix d’Amérique consécutifs comme entraîneur, avec Offshore Dream, en 2007 et en 2008, puis avec Meaulnes du Corta, en 2009, sachant qu’il était également au sulky d’Offshore Dream.

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