Lemon Tree remettra sa couronne en jeu samedi

Vainqueur du Prix Timoko (Gr.3) le 25 novembre dernier, Lemon Tree (Face Time Bourbon) défendra son titre, évidemment provisoire, de leader du tableau mâle des 2 ans, samedi dans le Prix Emmanuel Margouty (Gr.2). Le représentant de Joël Séché entraîné par William Bigeon et drivé par Benjamin Rochard, soit la même équipe qui a triomphé dimanche dernier dans le Prix Ready Cash - Sulky World Cup 4 Ans Q3 (Gr.1) avec Kana de Beylev (Express Jet), sera confronté à huit rivaux. Parmi eux, Luciano Menuet (Feliciano), lauréat du Prix Louis Cauchois (Gr.3) précédemment mais fautif dans le Prix Timoko sous la pression de Lemon Tree.

La Suéde attribue un "A" à l'étalon Django Riff

La Commission d'élevage suédoise, émanation de la société mère suédoise Travsport, accrédite et évalue les étalons deux fois par an. Dans son dernier rapport, qui vient d'être rendu public, elle a évalué la production suédoise de trois étalons étrangers : le français Django Riff (Ready Cash), l'américain Uncle Lasse (Donato Hanover) et l'italien El Mago Pellini (Chocolatier). Django Riff a reçu la meilleure note des trois, un A, soit le deuxième des cinq niveaux possibles. Le fils de Ready Cash a été évalué sur la base d'une descendance de 68 produits en Suède. Uncle Lasse a reçu un B et El Mago Pellini un C.
Cotation de la qualité de la descendance en Suède :
Élite = production extraordinaire
A = très bonne production
AB = bonne production
B = production acceptable
C = production en dessous de la moyenne de la race

Le saviez-vous ?

Quasiment inconnu en France, le 13 décembre est pourtant le jour du Cheval aux Etats-Unis. Désigné comme le "National Day of the Horse" (la journée national du cheval) de l'autre côté de l'Atlantique, il fait là-bas l'objet de célébrations relayées notamment sur les réseaux sociaux. Cette mise en lumière du cheval sous toutes ses formes fait en quelque sorte écho à la feuille de route définie ce mardi par Guillaume de Saint-Seine, le nouveau président de France Galop, qui place son mandat comme celui d'un "ambassadeur des courses de galop dans notre environnement socio-économique, et inséré dans la société".