Avec Jockiz, jouez avec les jockeys et drivers

On peut parler d’une nouvelle manière de s’intéresser aux courses. En créant son propre univers, construit sur les codes du gaming et des fantasy sports, Jockiz invite au jeu. Mais le jeu hippique propulse les participants au cœur d’une immense salle de marché où chacun construit ses équipes, achète et vend ses joueurs. Et par joueur, il s’agit ici de jockeys et drivers. En ouvrant sa marketplace (la fameuse place de marché), Jockiz fait véritablement entrer dans son univers. Laurent Bruneteau et Julien Mirabel, cofondateurs de Jockiz, dévoilent toutes les dimensions qui s’ouvrent aux joueurs dans un nouvel épisode de Micro Trotteur.

L’univers de Jockiz et ses principes avaient été présentés en janvier dernier. L'idée est de mettre chaque gamer en position de sélectionneur pour composer des équipes de jockeys et drivers dont il acquiert des cartes numériques classées selon un indice de rareté. Une sorte de marché virtuel dont la valeur d’échange est le jockey/driver. Avec le lancement de sa marketplace, vendredi 14 juin, Jockiz ouvre un nouveau chapitre dans l'univers des courses hippiques et du gaming. Cette marketplace permet de devenir collectionneur, propriétaire et stratège. Grâce à une interface intuitive, les joueurs peuvent dorénavant rechercher, acheter, vendre et échanger des cartes numériques représentant les meilleurs jockeys et drivers. Les transactions sont sécurisées grâce à la technologie blockchain, garantissant transparence, traçabilité et authenticité des échanges.
Sur cette nouvelle étape, Laurent Bruneteau commente : "Après un travail très soutenu, je suis très heureux de voir Jockiz se lancer dans la course avec l’ouverture du marché et les ventes aux enchères de cartes. Dès maintenant, chacun peut constituer son équipe avec ses jockeys et drivers préférés pour préparer au mieux les compétitions quotidiennes à venir."

Une place de marché mais deux marchés
La plateforme Jockiz est constituée de deux marchés distincts :
■ Les enchères (marché primaire) : les utilisateurs doivent participer à des enchères pour acquérir leurs premières cartes. Chaque carte est mise en vente par Jockiz pour une durée donnée. Le joueur qui aura réalisé la meilleure dernière enchère sur une carte deviendra propriétaire de cette dernière.
■ Les achats/reventes (marché secondaire) : sur cette partie de la marketplace, les utilisateurs peuvent mettre en vente leurs cartes, acheter des cartes à d’autres joueurs ou encore faire des échanges.

Un projet soutenu par les acteurs des courses
Le projet fédère les principaux acteurs des courses (SETF, France Galop, le Syndicat des Entraîneurs, Drivers et Jockeys, l’Association des Jockeys de Galop) et compte dès à présent plus de 450 jockeys et drivers signataires (lesquels se verront reverser un pourcentage du chiffre d'affaires généré par la vente de leurs cartes numériques). Julien Mirabel, cofondateur & directeur des opérations de Jockiz, précise dans notre podcast : "On a obtenu une licence officielle de la SETF et France Galop. On est en partenariat exclusif avec les deux associations de jockeys (pour le trot et le galop) et en licence exclusive avec plus de 450 jockeys et drivers. Cela grossit chaque jour. Le but est d'avoir un maximum d'acteurs des courses sous licence exclusive."
Sur cette mobilisation importante et inédite pour un tel projet, Tony Parker, cofondateur de Jockiz, commente : "Avec nos associés, nous sommes partis d’une feuille blanche, notre objectif était de mettre en avant les sportifs des courses. C’est donc une grande satisfaction de pouvoir compter sur le soutien de plus de 450 jockeys dans le jeu et ce n’est que le début !"

Devenir un acteur de l'écosystème des courses
Julien Mirabel fixe de son côté des objectifs à l'échelle de la filière : "Le lancement de la marketplace marque une étape importante pour Jockiz dans l’optique de devenir un acteur clé de l'écosystème des courses hippiques. Notre objectif est de moderniser et de démocratiser les courses hippiques et de créer un nouvel engouement pour ce sport."

Le temps de la stratégie avant le début des compétitions
Les compétitions quotidiennes Jockiz, qui consistent à aligner des équipes de 7 jockeys (cartes), démarreront dans quelques semaines. Un délai qui permet aux utilisateurs de commencer leur collection en achetant leurs premières cartes et d’élaborer leurs stratégies pour ce jeu basé à 100 % sur les résultats réels des courses.

Retrouvez notre podcast spécial Jockiz avec Laurent Bruneteau et Julien Mirabel, cofondateurs, par ce LIEN.
◆ Julien Mirabel : "L’idée principale est de numériser et moderniser les cartes Panini que l’on a tous connues, les petites cartes de footballeurs à collectionner que l’on collait dans un catalogue, dont certaines était plus rares que les autres. L’idée sous-jacente n’est pas juste de collectionner mais aussi de vibrer en créant des équipes sur le jeu adossé à ces cartes. Les performances réelles de vos sportifs, chez Jockiz, de vos jockeys et drivers sur les pistes, vont générer des points. Le jeu est finalement basé à 100 % sur des datas réelles. Cela permet donc de lier le virtuel au réel. On génère des émotions sur le court et le long terme car, en tant que joueur, vous êtes propriétaire à vie de vos cartes, jusqu’à ce que vous les revendiez."
◆ Laurent Bruneteau : "Ce qui est sympa, c’est de jouer à un jeu en choisissant les jockeys qu’on aime, des anciens, des nouveaux, de former des équipes en mélangeant les trois disciplines. En fonction des performances réelles de nos jockeys et drivers, nos équipes vont obtenir des points et intégrer un classement, avec des lots à gagner."
◆ J.M. : "Avec Jockiz, on a toujours l’émotion du collectionneur et son sentiment de fierté. En le couplant à un jeu, on permet de gagner des lots chaque jour. À 98 %, ces lots sont d’autres cartes. On peut par exemple gagner une carte d’Eric Raffin. Soit vous la gardez pour consolider vos équipes, soit vous la revendez sur le marché secondaire, le marché de l’achat/revente entre particuliers. Il est interne à la plateforme – vous ne sortez pas de Jockiz.com. On peut aussi faire gagner des expériences pour aller vibrer sur des grands événements hippiques, rencontrer des jockeys et drivers pour, une fois de plus, lier le virtuel au réel."
◆ J.M. : "On a trois cibles différentes : les amateurs de courses hippiques intéressés par un jeu disruptif sur les courses, le public de type gamer, plus jeune que l’amateur de courses médian, que l’on veut séduire par les usages et codes de Jockiz, et enfin le très grand public, de l’amateur de sport aux fans de chevaux."
◆ J.M. : "Le but n’est pas de cannibaliser le pari hippique mais d’apporter de nouveaux publics. C’est de faire un produit mass market. Cela va être un cercle vertueux pour la filière car Jockiz est avant tout un projet solidaire avec un reversement d’une part substantielle de nos revenus aux sociétés mères, associations de jockeys et aux jockeys/drivers. Il est aussi prévu qu’on s’engage dans RaceAndCare avec Passerelle et Au-delà des Pistes. On souscrit à la vision contributive de la filière."
◆ L.B. : "Je suis persuadé que des gens venus aux courses par le biais de Jockiz peuvent avoir envie d’aller plus loin, en engageant des paris auprès d’un opérateur, en se déplaçant sur un hippodrome… Faites du bruit pour Jockiz !"
◆ J.M. : "On est partis sur les jockeys et non les chevaux pour deux raisons. D’abord pour la fréquence de jeu offerte. Avec une carte Eric Raffin, on peut vibrer plus de 1.700 fois par an, ce qui est unique dans l'univers sportif, tous sports confondus. Ensuite pour la capacité d’identification offerte dès lors que l’on veut séduire de nouveaux publics. C’est plus facile de s’identifier à un être humain qu’à un cheval."