Ce samedi 6 juillet est particulier pour l’ensemble de la filière hippique, toutes disciplines confondues. C’est le jour de l’opération #RaceAndCare. Cette deuxième édition du genre a pour ambition d’encourager et de donner les moyens à tous les acteurs des courses de témoigner de leur engagement quotidien en faveur du bien-être de leurs chevaux. C’est comme une tribune libre offerte à chacun(e) pour disséminer des centaines et milliers de témoignages sur le sujet de la bientraitance dans les courses dans le cadre du quotidien. Tout cela se fait et se réunit sur Instagram, à travers des photos et vidéos portant toutes le hashtag #RaceandCare.
Une deuxième édition est toujours différente de la première. C’est celle de la confirmation ou du rebond selon que le premier épisode était synonyme de succès ou de déception. Douze mois après une première édition, en date du 1er juillet 2023, clairement classée dans la première catégorie (celui du succès), la deuxième Journée Nationale #RaceAndCare aura lieu ce samedi. La Fédération Nationale des Courses Hippiques (FNCH) et plus globalement l’ensemble de l’institution des courses communiquent depuis quelques semaines sur l’événement. Il s’agit d’une opération purement digitale qui a ceci d’original qu’elle donne la parole aux acteurs du terrain. À tous les acteurs, socioprofessionnels des courses, passionnés ou tout simplement enthousiastes d’une démarche déléguée à toutes et tous. Le principe est d’utiliser les réseaux sociaux comme caisse de résonnance autour du hashtag #RaceAndCare. Grâce à lui, et aux photos et vidéos partagées sous sa signature, la FNCH aura pour mission de mieux faire connaître les initiatives prises en matière de bien-être équin. Il s’agira ici de donner une image fidèle de la réalité de la vie du cheval de course, avant, pendant et après sa carrière d’athlète.
Une opération du bas vers le haut, à rebours du processus classique décisionnel de haut en bas
Oisin Hopper est chargé de communication et promotion de la FNCH et nous développe les attendus de cette journée : "C’est une journée qu’il faut voir comme un appel à mobilisation de la base. Sur un tel sujet, il ne faut pas que la prise de parole ne vienne que de l’institution. Elle doit venir de tous les acteurs de la filière course : les éleveurs, les entraîneurs, les drivers, les jockeys, les lads, les propriétaires, les organismes de vente, les structures de reconversion, les médias également. Bref toutes les personnes qui travaillent dans la filière vont pouvoir montrer leur engagement en faveur de la bientraitance animale."
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