Belle et importante séance de qualifications ce mercredi à Caen, réservée aux seuls 2 ans, qui aura permis à 98 des 173 candidats de décrocher leur sésame pour la compétition. L'opération K-LIFS était au rendez-vous pour vous rendre compte au plus près et en direct sur les supports de Province courses les prestations de chacun et chacune. Fabien Cailler a joué à l'animateur tout terrain, recevant à son micro propriétaires, entraîneurs, éleveurs. Retrouvez ce nouvel épisode des K-LIFS par ce lien.
C'est une immense figure des courses françaises et internationales qui s'est éteinte ce mercredi. Alec Head était âgé de 97 ans et a marqué de son nom l'histoire du galop. Il a tout essayé, tout fait, tout réussi, de jockey à entraîneur, d'éleveur à propriétaire. Il était aussi un des maillons de la grande dynastie Head, succédant à son père William et transmettant sa passion à ses enfants, notamment Christiane, la première femme à gagner le Prix de l'Arc de Triomphe, et Freddy, champion jockey avant de devenir entraîneur classique. Première victoire comme jockey en 1941, installé entraîné en 1947, à 23 ans, il remporte le premier de ses quatre "Arc" en 1952 grâce à Nuccio, un représentant de l'Aga Khan, qui bat un cheval entraîné par son père William ! À la tête du haras du Quesnay (300 hectares dans le pays d'Auge) où les vaches Salers tiennent compagnie aux pur sang, l'homme a eu en charge de prestigieux effectifs comme ceux de la famille Wertheimer, comme après lui ses enfants. Il a acheté et révélé Riverman et Lyphard avant que ceux-ci ne devient de grands étalons outre-Atlantique. L'élevage familial lui aura donné plusieurs champions, dont Bering (Arctic Tern) et Trêve (Motivator), tous les deux entraînés par sa fille Christiane. Homme du monde - il a accueilli plusieurs fois la Reine d'Angleterre au Quesnay -, Alec Head vivait
C'est une immense figure des courses françaises et internationales qui s'est éteinte ce mercredi. Alec Head était âgé de 97 ans et a marqué de son nom l'histoire du galop. Il a tout essayé, tout fait, tout réussi, de jockey à entraîneur, d'éleveur à propriétaire. Il était aussi un des maillons de la grande dynastie Head, succédant à son grand-père William et à son père William Henry et transmettant sa passion à ses enfants, notamment Christiane, la première femme à gagner le Prix de l'Arc de Triomphe, et Freddy, champion jockey avant de devenir entraîneur classique. Première victoire comme jockey en 1941, installé entraîné en 1947, à 23 ans, Alec Head remporte le premier de ses quatre "Arc" en 1952 grâce à Nuccio, un représentant de l'Aga Khan, qui bat un cheval entraîné par son père ! À la tête du haras du Quesnay (300 hectares dans le pays d'Auge) où les vaches Salers tiennent compagnie aux pur sang, l'homme a eu en charge de prestigieux effectifs comme ceux de la famille Wertheimer, comme après lui ses enfants. Toujours pour les Wertheimer, il a acheté aux Etats-Unis Riverman et Lyphard, les a exploités en courses en Europe avant que qu'ils ne deviennent de grands étalons d'envergure internationale.
Il compte l'un des plus beaux palmarès français avec, comme entraîneur, quatre victoires dans le Prix de l'Arc de Triomphe, un titre dans le Derby d'Epsom (Lavandin en 1956), trois dans le Prix du Jockey Club, deux dans le Diane, un dans les King George VI and Queen Elizabeth Stakes.
L'élevage familial lui aura donné plusieurs champions, dont Bering (Arctic Tern) et Trêve (Motivator), tous les deux entraînés par sa fille Christiane. Homme du monde - il a accueilli plusieurs fois la Reine d'Angleterre au Quesnay -, Alec Head a côtoyé tous les grands propriétaires internationaux du galop. Il a vécu de nombreuses années entre une résidence aux Bahamas, où il passait les mois d'hiver, et la France, notamment au haras du Quesnay et une maison de Chantilly. Sa femme Ghislaine aura joué un rôle important à ses côtés lors d'une vie qui traverse deux siècles et même trois dans le cadre d'une continuité dynastique qui a commencé avec son grand-père au XIXe siècle. À sa femme, à leurs enfants Christiane, Freddy, Martine et Patricia, et à l'ensemble de leur famille, 24H au Trot présente ses plus sincères condoléances.
Son nom est déjà célèbre. Gregory Peck n'est pas qu'un des acteurs mythiques d'Hollywood, il est aussi, dans l'univers du trot américain, celui a permis la carrière du phénomène Muscle Hill 1'08 (Muscles Yankee), 20 victoires en 21 sorties dont l'Hambletonian, trotteur de l'année en 2009 aux USA et devenu le numéro 1 des étalons standardbreds.
Gregory Peck, 58 ans, fait partie de la délégation américaine actuellement en France dans le cadre de la prospection de Trotteurs Français (lire notre édition du 12 juin). Il rêvait de courir à Vincennes et son rêve va s'exaucer vendredi. Il drivera en effet Dassero (Ubriaco) pour l'entraînement de Patrick Cavey. Il a reçu le 1 derrière l'autostart sur le parcours des 2.100 mètres de la grande piste. À ses côtés, avec le 2, Eric Raffin sera à la fois un rival et un exemple à suivre.
Good luck Mr Peck !
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