L'information publiée jeudi dans "Les Échos" et dont on vous résumait les principaux points dans notre édition d'hier (voir ICI) a généré de nombreuses réactions. D'une même voix, la Filière courses a ainsi pris la parole en toute fin de journée via un communiqué co-signé par la SETF et France Galop. L'idée est de recontextualiser les paris hippiques dans son propre environnement et plus largement dans celui des paris. Et de s'opposer formellement à cette mesure présentée comme un "danger de mort". Voici le communiqué dans son intégralité.
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Hausse de la fiscalité sur les paris hippiques : 100 M€ de revenus agricoles en moins, une filière en danger de mort immédiate
Le journal Les Echos a relayé le projet du gouvernement d’envisager une forte hausse des taux de prélèvements de cotisations sociales sur le produit brut des jeux (PBJ) des paris hippiques.
Aujourd’hui, ce prélèvement est à un taux de 6,9% sur le PBJ, pour un montant de 137.791.057€ en 2023. Au regard des informations publiées et de nos projections budgétaires pour 2025, la hausse atteindrait un montant de 60 à 100M€. La filière agricole des courses hippiques française est un modèle unique, dont la viabilité repose sur les ressources issues des paris qui financent les courses et l’élevage, et soutiennent la filière dans son ensemble. Concrètement, les revenus issus des paris hippiques sont à 100% reversés à la filière, permettant de financer les encouragements bénéficiant notamment aux professionnels agricoles éleveurs et entraîneurs et leurs personnels, l’entretien des 233 hippodromes répartis dans nos territoires et l’organisation des 18000 courses tout au long de l’année, faisant ainsi vivre 40 000 personnes en France.
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